Le système d'irrigation pratiqué dans les palmerais de Sidi Okba Description et analyse d'efficacité

Abstract

A l’issue de ce travail, et dans le but valoriser l’objectif scientifique de notre recherche, il est utile de rappeler les objectifs attendus de ce travail qui consistaient en.  Identification dès l’état et le niveau de performance des différents systèmes et techniques d’irrigation dans la phoeniciculture cas de la région de Sidi Okba.  Les causes (facteurs) et les contraintes qui influencent la performance de ces systèmes l’irrigation et bien sur les conséquences de cette non efficience de ces systèmes sur la production agricole dans les palmeraies enquêtées.  Puis en finalité avancé toutes les stratégies mise en place par les agriculteurs pour faire face à ces contraintes et aussi pour une meilleure pratique des irrigations et valorisation de l’eau d’irrigation pour un système durable. Les premiers résultats de cette étude ont montré qu’il existe une multitude de types d’exploitations de phoeniciculture dans la commune de Sidi Okba. Ces exploitations diffèrent entre elles dans leurs accès aux différents facteurs de production caractéristiques de palmier dattier. L’introduction des nouvelles techniques d’irrigation est un facteur important pour le développement agricole et pour une utilisation raisonnée de cette ressource rare. Les résultats obtenus sont très déférentes entre les exploitations selon le critère utilisation et maitrise des systèmes d’irrigation. Grosso modo, Nous avons constaté que le niveau d’efficience des systèmes d’irrigations pratiquée dans les exploitations phoenicicole dans la région de Sidi Okba est très faible et inquiétante par rapport aux moyennes mises en place, voir en dégradation contenue d’une année à l’autre dans certaines exploitations, notamment dans les palmerais traditionnelle. Les causes de cette situation sont multiples et de déférents ordre : techniques, sociologiques, économiques et même politiques. Nous avons observé que la gestion non raisonnée de l’eau d’irrigation par les agriculteurs de la région d’étude, et aussi les agriculteurs, ne maitrisent pas assez les fréquences d’irrigation. La méconnaissance des techniques fiables pour déterminer les besoins en eau de la culture. D’autres parts, nous avons remarqué une mauvaise installation