Please use this identifier to cite or link to this item: http://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/13393
Full metadata record
DC FieldValueLanguage
dc.contributor.authortouil, nour-
dc.date.accessioned2019-10-22T13:31:13Z-
dc.date.available2019-10-22T13:31:13Z-
dc.date.issued2019-06-20-
dc.identifier.urihttp://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/13393-
dc.description.abstractBiskra est une région agricole pionnière. Elle possède de grandes potentialités productives grâce aux conditions climatiques et édaphiques et surtout sa vaste superficie agricole utile qui s’élève à 186 297,20 Ha, une diversité culturale et un caractère intensif de son système de production sous serres. Ce qui implique des besoins en conseils agricoles croissants. Notamment en conseil phytosanitaire afin d’accompagner les producteurs et protéger leurs cultures et assurer l’amélioration de leurs rendements et par conséquent leurs revenus. Ce travail avait comme objectif de mieux connaitre la contribution du conseil phytosanitaire dans la dynamique agricole de la région des Ziban. Pour atteindre cet objectif nous avons adopté la méthode de l’enquête par questionnaire auprès de 33 conseillers agricoles et un échantillon raisonné de représentants des agriculteurs et des entretiens avec quelques responsables locaux de la vulgarisation agricole. Les questionnaires sont été conçus en fonction des hypothèses de l’étude et les spécificités des enquêtés. Cette méthode nous a permis de construire une base de données SPSS. Les principaux résultats ont montré : - Une insuffisance du nombre de conseillers agricoles comparé à celui des fellahs (40000). - Une Faible part du conseil phytosanitaire dans le conseil agricole - Une baisse dans la participation des producteurs dans les séances de vulgarisation qui sont aussi insuffisantes (journées de sensibilisation et d'information, journée technique, journées de démonstration, visites conseils) - 57 % des conseillers travaillant hors leurs communes de résidence ce qui constitue une contrainte au bon conseil. - Le nombre très faible d’agriculteurs par séance de conseil phytosanitaire par rapport au besoin du secteur qui compte plusieurs types de cultures et rencontre de nombreux risques phytosanitaires - Seulement 1/5 conseiller est un ingénieur. Cela est insuffisant pour satisfaire le besoin important en protection phytosanitaire. - Faible nombre des conseillers spécialisés en protection végétale qui ne représentent que 9% (2 conseillers non universitaires et 1 universitaire) une faible présence des spécialistes en protection des végétaux - Les enquêtés ont confirmés leur besoin important besoin important en connaissances phytosanitaire. Compte tenu de ces résultats, il est grand temps de recommander de revoir globalement le système de conseil agricole et phytosanitaire notamment dans les régions pionnières en production comme la région de Ziban. Un système efficace offrant la bonne information au bon moment pour le bon utilisateur avec des moyens logistiques et humains motivés et compétents, pour encourager l’adoption innovation agricole. Comme perspective de cette recherche l’étude approfondie sur le conseil phytosanitaire, visera à mieux comprendre les possibilité d’amélioration du système de conseil par des recommandations à formuler avec les acteurs de l’agriculture en intégrant - outres les conseillers agricoles du ministère de l’agriculture- les autres intervenants sur le terrain.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titleDynamique agricole et conseil phytosanitaire dans la région des Zibanen_US
dc.title.alternativeSciences Agronomiquesen_US
dc.typeMasteren_US
Appears in Collections:Faculté des Sciences Exactes et des Science de la Nature et de la vie (FSESNV)

Files in This Item:
File Description SizeFormat 
TOUIL_Nour.pdf3,79 MBAdobe PDFView/Open


Items in DSpace are protected by copyright, with all rights reserved, unless otherwise indicated.