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dc.contributor.authorSelma, SARAOUI-
dc.date.accessioned2023-03-22T08:02:36Z-
dc.date.available2023-03-22T08:02:36Z-
dc.date.issued2020-09-29-
dc.identifier.urihttp://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/23412-
dc.description.abstractDans les mathématiques, l'espace est métrique lorsque ses propriétés configurationnelle sont inchangées (dimension, proportion, couleur, échelle, et configuration) ; il se dit topologique lorsqu’il s´intéresse aux Transformations Continues qui émanent du rapport Réciproque qu’entretient L’objet avec son contexte Spatio-temporelle. En architecture L´espace est d´abord considéré comme géométrique, il est systématiquement défini par ses variables dimensionnelles. Prenons un simple exemple, On vous demande de définir l´espace ou vous vous situer en ce moment même, vous allez certainement chercher à le quantifier en utilisant un instrument de mesures (main, pieds, décamètre, …), et nous dire, cet espace fait X m³. Mais, si nous faisons abstraction des dimensions métriques, serions-nous en mesure de définir cet espace ? c´est à cette question que nous allons tenter de répondre dans un premier temps, en revenons à l´exemple cité, cette fois ci en se basant exclusivement sur les sources des signaux physiques : lumière, son, …. Qui caractérisent l´espace, et sur votre corps qui les reçoivent et les interprètent en affichant une posture de bien ou de mal être, nous allons vous redemander de définir l´espace par le biais de vos cinq sens, vous allez certainement user de qualificatifs, tels que : Lumineux, bruyant, chaud…. La question qui se pose, est de savoir si sur la base de ce que nous qualifions face à ce que nous apercevrons et nous ressentons, serions-nous en mesure de créer un nouvel outil de mesure relatif à l´espace architectural, a priori théoriquement la réponse est oui. Si nous prenons comme exemple la lumière, entant que l´un des signaux les plus importants, elle ne varie pas de manière métrique dans l´espace, mais plutôt de manière topologique qui se définit en tant que transformations continues, ses transformations sont régies par un certain nombre de variables tels que le nombre, la position et la taille des ouvertures de l’enveloppe spatiale ainsi que son orientation. Il en est de même pour les autres signaux, son, odeur, texture, … Par conséquent, la vraie question qui en découle est celle de trouver les assises scientifiques qui permettraient de rendre effective cette nouvelle manière de percevoir l´espace. A cet effet, les espaces museaux se présentent comme le support d´analyse idéale à même de bien mener la présente recherche. C´est grâce aux simulations numériques que nous avons réussi à rendre lisible le langage topologique tout en mettant en exergue les moindres variations sensorielles inhérentes à chaque type de signal ambiantal. Ma thèse n´est pas la démonstration de ce raisonnement discursif, elle est plutôt la construction des fondements théoriques de cette nouvelle manière de mesurer l´espace, en d´´autre termes nous comptons développer un outil numérique qui permettra de mesurer l´espace en considérant tous ses aspects. Cette nouvelle manière de percevoir l´espace va permettre de cerner d´avantage l´espace dans ses moindres variations constituantes, en ayant toute la latitude de le maitriser sur le plan de l´optimisation énergétique.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectTopologie,en_US
dc.subjectespace architecturalen_US
dc.subjectambiance lumineuseen_US
dc.subjectambiance sonoreen_US
dc.titleVers une topologie ambiantale de l’espace architectural. Référence aux cas des musées.en_US
dc.typeThesisen_US
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