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dc.contributor.authorبن نويوة, عبد المجيد-
dc.date.accessioned2023-04-02T16:26:47Z-
dc.date.available2023-04-02T16:26:47Z-
dc.date.issued2010-03-04-
dc.identifier.urihttp://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/23742-
dc.descriptionMasters thesisen_US
dc.description.abstractL'interpellation est l'un des plus importants moyens de contrôle du travail du gouvernement, mais il est désactivé dans la législation algérienne, bien que la constitution algérienne de 1996 avait stipulé à l'article 133, ainsi que l'amendement constitutionnel pour l'année 2008. Ces perturbations causés par la non organisation de la responsabilité politique du gouvernement, soit la responsabilité du gouvernement en générale, soit la responsabilité politique de chaque ministre isolé de l'ensemble, dans ce cas là, le parlement ne peut jamais poussé le gouvernement à démissionné, en conclusion on peut dire que L'interpellation est un moyen de contrôle parlementaire très limité et sont effet sur le gouvernement est nul.en_US
dc.description.sponsorshipUniversité Mohamed Khider Biskra.en_US
dc.language.isoaren_US
dc.publisherUniversité Mohamed Khider Biskra.en_US
dc.subjectالرقابة على العمل الحكوميen_US
dc.subjectالاستجوابen_US
dc.titleدور الاستجواب في الرقابة على العمل الحكوميen_US
dc.typeThesisen_US
Appears in Collections:Département de droit

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