Please use this identifier to cite or link to this item: http://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/290
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dc.contributor.authorMERABET, Samia-
dc.date.accessioned2013-12-28T18:04:49Z-
dc.date.available2013-12-28T18:04:49Z-
dc.date.issued2013-12-28-
dc.identifier.urihttp://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/290-
dc.description.abstractDans cet article, nous abordons les raisons pour lesquelles la femme à Constantine, autrefois, était contrainte de quitter la maison (Le dedans) pour la rue ( Le dehors). Le premier de ces espaces (la maison) était celui de la femme, le second l’espace public (le dehors) celui de l’homme. Les profondes mutations socio économiques qu’à connu l’Algérie au lendemain de son indépendance ont facilité à la femme l’accès aux espaces publics. L’importante instruction de la femme, le travail salarial ont, de fait, consolidé ses sorties mais d’une manière disciplinée voire restrictive : Celles-ci sont tolérées à condition qu’elles soient justifiées par des raisons utilitaires avant la tombée de la nuit tout en respectant obligatoirement les lieux qui lui sont préalablement délimités par la société. Ainsi, si la femme a pu intégrer les espaces publics, ceux-ci se redéfinissent rapidement comme espaces masculins dès que sa présence transgresse le code de conduite qui lui est socialement imposé.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titleLa femme et les espaces publics à Constantineen_US
dc.typeArticleen_US
Appears in Collections:العدد 21

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