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dc.contributor.authorben gouga, ismahan-
dc.date.accessioned2020-02-09T12:07:59Z-
dc.date.available2020-02-09T12:07:59Z-
dc.date.issued2019-06-20-
dc.identifier.urihttp://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/15106-
dc.description.abstractA travers notre étude de marques postcoloniales présentent dans nos richesses de Kaouthar ADIMI, nous avons pris en considération les représentations fictionnelles, non classiques, et non traditionnelles émergés, dans ce roman contemporain. Le Postcolonialisme s’engage pour la restitution du passé historique comme l’a appliqué l’auteur dans cette oeuvre.Elle met en évidence la dimension historique et coloniale que contient le récit.La romancière rappelle au lecteur un passé pesant à travers deux fictions. La romancière est issue d’une expérience de ce que l’on nomme l’indigène.Cette expérience l’a pousséeà faire appel à des événements historiques : le centenaire de la colonisation, l’engagement dans la seconde guerre mondiale, les manifestations et les massacres de Sétif, le déclenchement de la révolution algérienne, la répression de la manifestation de 1961 à Paris. Dans le personnage de Edmond Charlot qui a côtoyé et édité les plus grands écrivains et intellectuels de son temps, elle nous fait plonger dans l'effervescence intellectuelle des années trente à Alger. Les mots clés : Le postcolonialisme, réécriture de l’histoire, la mémoire, l’identité, le métissage, littérature francophoneen_US
dc.language.isofren_US
dc.titleLES MARQUES POSTCOLONIALES DANS NOS RICHESSES DE KAOUTHAR ADIMIen_US
dc.title.alternativeLangue, littérature et civilisationen_US
dc.typeMasteren_US
Appears in Collections:Faculté des Lettres et des Langues FLL

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