Please use this identifier to cite or link to this item: http://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/23759
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dc.contributor.authorRADOUANE, AMOKRANE,-
dc.date.accessioned2023-04-03T19:59:26Z-
dc.date.available2023-04-03T19:59:26Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttp://archives.univ-biskra.dz/handle/123456789/23759-
dc.description.abstractEn Algérie, la majorité des villes sont constituées d’un centre qui date du 19ème siècle. Aujourd’hui ces noyaux historiques présentent plusieurs signes de dégradation et ils sont envahis par diverses formes de mutation urbaine et architecturale. Le centre-ville colonial d’Ain Beida, crée en 1853, sur les ruines d’une ville romaine appelée ‘Marcimeni’, ne déroge pas de cette règle, puisque, ce dernier affiche aussi une dégradation inquiétante et une mutation remarquable, traduite par plusieurs actions de transformation et de démolition du bâti colonial, ainsi qu’une modification du fonctionnement urbain de cet espace. Cette recherche a démontré que les mutations citées auparavant semblent liées à plusieurs facteurs, dont : la dégradation physique des bâtisses, le manque d’entretien et (ou) la manière d’entretenir, le problème d’héritage, le commerce, l’obsolescence spatio-fonctionnelle, l’absence du mouvement associatif, l’indifférence des pouvoirs publics… Aujourd’hui, les impacts négatifs de ce phénomène risquent de défigurer d’une manière irrémédiable le paysage urbain du centre-ville d’Ain Beida, un centre qui présente l’histoire, la beauté, l’originalité et la particularité de cette ville.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectArchitecture coloniale,en_US
dc.subjectnoyau colonial,en_US
dc.titleAMOKRANE,en_US
dc.typeThesisen_US
Appears in Collections:Département d'Architecture

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